Même si l’année de 2017 a été un véritable record pour le marché de l’immobilier, l’année 2018 semble être encline à établir un fait semblable. Est-ce vrai ou infondé ? Les professionnels sont formels : malgré un début d’année difficile, ils sont certains de noter une excellente statistique encore une fois. Pourtant, ce ralentissement dans ce marché n’est pas anodin, car il souffre de plusieurs facteurs ! Notamment l’accès au logement, rendu difficile par la réforme des dispositifs d’aide à la propriété, sans compter la hausse des prix des logements, qui font de plus en plus peur.

L’année 2017 : un record battu à plate couture, sur les années précédentes

D’après les Notaires de France, il a été enregistré, uniquement dans l’ancien, plus de 958 000 transactions réalisées. Un record battu de 110 000 par rapport à 2016. Cela a beaucoup joué avec les promoteurs, qui ont tant su améliorer leurs performances, que plus de 130 000 réservations au détail ont pu se faire, contre les 126 950 en 2016. Des chiffres annoncés par la Fédération des promoteurs immobiliers.

Les constructeurs, quant à eux, ont construit 142 000 logements, soit une augmentation de 8 400 ventes supplémentaires.

Les professionnels sont très optimistes pour cette année

Les promoteurs immobiliers, les agences, les entreprises et autres pros du marché de l’immobilier, ont été interrogés par le Crédit Foncier, affichant tous leur optimisme et leur confiance pour cette année. Il est avéré depuis un an et demi que 80% des optimistes sont stabilisés, depuis la forte croissance de janvier 2015, et septembre 2016. Durant cette période, le pourcentage des optimistes est passé de 35 à 78%, ce qui est très prometteur.

Quant aux chiffres de l’ancien et du neuf, 55% des professionnels estiment que le niveau des transactions restera inchangé, par rapport à 2017.

Pour les prix du mètre carré, 51% pensent également à une stabilisation alors que 16% prévoient une baisse de 2%, depuis avril 2017. Cependant est-ce une bonne chose pour autant ? La tendance haussière des prix sera toujours présente et d’actualité dans les grandes villes, et accentuera le déséquilibre entre l’offre et la demande.

Les Notaires de France, eux, pensent que le rythme annuel général augmentera de 12% à Bordeaux, de 7% à Paris et Lyon, alors que les autres grandes agglomérations verront une hausse des prix, de 2 à 5%.

Le neuf, lui, ne devrait pas trop changer non plus au niveau du volume des ventes, selon 46% des sondés. A contrario, 33% pensent qu’aura lieu une progression et 16% une diminution. Une augmentation des pessimistes est pourtant en hausse, avant située à 8% en 2017. Peut-être craignent-ils les conséquences de ces fameux dispositifs d’aide à l’accession à la propriété et à l’investissement locatif.

Les prix eux, sont perçus comme stabilisés, selon 54% des sondés, alors que 34% estiment une hausse des prix.

L’activité tiendrait grâce aux crédits bancaires

Les conditions de financement sont toujours plus attractives et intéressantes, de fait, les banques continueront certainement dans leur lancée cette politique de taux immobiliers bas, pour enflammer l’activité. Les banques aux emprunteurs avec un bon profil peuvent leur faire bénéficier d’un taux de 1,30 ou 1,40% sur une durée de 20 ans ! Normalement, le taux devrait se situer à 1,70%, ce qui fait une grande différence !

Les banques en lignent participent également, puisqu’elles se diversifient sans cesse, afin d’offrir les meilleurs services possibles à leur clientèle. Voyez avec une offre de BforBank, vous constaterez que cette banque en ligne promet un service crédit immobilier dès plus intéressants.

Pour conclure : 2018 sera une année très florissante pour le marché de l’immobilier, malgré une estimation un peu moins importante que celle de 2017.

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